samedi 28 avril 2007

UDF et Bayrou vus par Binet

Entre une tentation à gauche de Bayrou et l'élan à droite de ses parlementaires, ils se voient obligés de rester au centre...

vendredi 27 avril 2007

COMMUNIQUE de PRESSE du 24 Avril 2007
ci-joint le communiqué publié par François Bouriot, président du PRG 22 après le 1er tour des présidentielles

Pour Trélévern, je ne peux que me réjouir de la très forte participation électorale, du vote massif de nos jeunes inscrits, du recul du Front National par rapport à 2002 où Trélévern s'était bizarrement distingué et des bons scores réalisés par Ségolène Royal et François Bayrou.En revanche, il ne faut pas comparer (comme je l'ai entendu plusieurs fois) le score de Ségolène Royal à celui de François Mitterrand en 1981 qui disposait pour le second tour des voix de Bouchardeau, de Marchais à 15 % et de Michel Crépeau (PRG). La gauche unie ne doit pas faire une campagne strictement défensive (du type tout sauf Sarkosy) mais se montrer au contraire pleine d'initiative et de bon sens afin de démontrer à l'électorat de François Bayrou qu'il faut voter Royal le 06 Mai. Pour les Radicaux, qui se situent politiquement, je le rappelle, entre le centre et le PS, trois thématiques principales reprises par Ségolène Royal dans son programme, nous paraissent importantes : la réforme des institutions, l'Europe et notre conception moderne de l'économie solidaire. La victoire est possible et mais elle sera le fruit de la mobilisation intense de toutes les forces de progrès.
François Bouriot
Maire de Trélévern
Président de la fédération 22

jeudi 26 avril 2007

score de Ségolène Royal au premier tour présidentielles

je me dois d'attirer l'attention de tous sur le fait que Ségolène Royal n'a obtenu qu'un très modeste score de 25,90% à Treffrin, commune où Marie-Renée Oget est députée maire alors qu'elle a obtenu un très bon score de 33,18% à Grâces, commune dont je suis le premier adjoint au maire. Chacun saura en tirer les conclusions pour les futures élections dont les législatives.

samedi 21 avril 2007

Ce matin, samedi 21 avril, les habitants voisins de l'usine Stalaven exprimaient leur mécontement face au bruit des blocs réfrigérants des camions ainsi que le bruit des camions qui sont là dès 6h lematin réveillant ainsi le voisinage très tôt.
M. Troadec directeur de l'entreprise a indiqué que le bon de commande était passé pour la mise aux normes acoustiques de l'installation, qu'une nouvelle mesure aurait lieu ensuite dont il communiquera le contenu. Ceci sera terminé avant le 15 mai.
quant au bruit des camions, il cherchera la meilleure solution. Le dialaogue a été courtois et chacun a promis de garder le contact pour agir au mieux.
En tant qu élu je deplore que la présidence de la communauté de communes n'ait pas pris le temps suffisant pour étudier ce dossier dans tous ses aspects dont l'un, essentiel, qui est le dialogue avec les riverains. Ce dialogue avec la population est une nécessité de la democratie, lui- seulpeut aboutir à un développement économique pérenne avec des emplois localisés et stables. J'ai tenu à être présent personnellement aux côtés de lapopulation, du maire et de son conseil municipal.
Michel Priziac était présent personnellement à Bulat-Pestivien hier soir
Hier soir, vendredi 20 avril, j'ai eu le bonheur d'assister à la représentation d'un e pièce de théâtre en breton de Strollad Kallag. ce fut un bonheur et un régal d'être avec avec les gens de Bulat et leur maire Louis Cjean dans leur salle polyvalente. Enfants, jeunes et anciens (une bonne cinquantaine) ont vécu un grand moment du fait culturel et linguistique dans cette magnifique commune du canton de Callac. Merci à la troupe et à eux tous.

lundi 16 avril 2007

Refus de la remise en cause de la scolarisation des enfants de 2 à 3 ans

Nous sommes scandalisés par la manière dont les enfants de deux ans se sont, en quelques mois, trouvés exclus d'inscription dans les écoles maternelles. Le PRG avait alerté dès le mois de décembre sur cette situation dont les effets immédiats (fermeture de classes et de postes d'enseignants) se font sentir de façon dramatique sur le milieu rural. Candidat aux élections législatives, il me semble indispensable que les parlementaires qui votent le budget de la Nation soient en première ligne sur ces dossiers à la fois sensibles et destructeurs d'avenir.

Remise en cause de la scolarisation des enfants de 2 à 3 ans

La fédération départementale des Radicaux de Gauche dénonce l’attaque inacceptable contre l’école à 2 ans. Il s’agit à la fois d’une régression en terme d’éducation du jeune enfant, d’une régression du service de proximité aux jeunes parents, de charges nouvelles aux collectivités locales, d’atteinte inadmissible au service public notamment en espace rural et dans les quartiers défavorisés. Ceci se traduit par la fermeture de classes maternelles dans les petites communes entraînant ipso facto la surcharge des classes restantes (jusque 35 élèves parfois), le départ contraint des enseignants de leur poste (6 écoles maternelles ou primaires touchées sur le seul canton de Rostrenen), l’impossibilité pour les familles de trouver des solutions d’accueil, d’où leur désarroi et l’obligation de quitter leur maison pour habiter ailleurs. Les Radicaux de Gauche considèrent qu’au delà du supposé problème comptable immédiat, ce sont bien les services de proximité qui sont les éléments déterminants d’un développement harmonieux du territoire départemental. A l’heure où les maires du département et leur association (AMF) expriment leur détermination quant au maintien et au développement des services à la population, comment ne pas s’élever vigoureusement contre les décisions qui en scellent l’affaiblissement voire leur disparition de certaines zones. Malgré le travail constant de leurs élus locaux, le dynamisme de leurs associations, l’investissement de leurs forces vives et le potentiel humain de leurs habitants, les problèmes de ruralité et de quartiers ne sont ni compris ni entendus des décideurs. Le Parti Radical de Gauche (PRG), sa fédération départementale, ses délégués de circonscription seront toujours aux côtés des populations locales, où qu’elles soient, pour les aider à faire entendre leur voix : celle des valeurs humaines pour un avenir meilleur pour chacun.

Michel Priziac
Délégué de la circonscription de Guingamp Rostrenen

vendredi 13 avril 2007

Un projet de Progrès et de Libertés, de Solidarité et de Pragmatisme pour notre circonscription

cette circonscription comprend les cantons de

Bégard, Belel-Isle-en-Terre, Bourbriac, Calalc, Gouarec, Guingamp, Lanvollon, Maël-Carhaix, Plestin-les-Grèves, Plouagat, Plouaret, Rostrenen, Saint-Nicolas-du-Pelem

E pep parrez deus ar bastell vro e vez komzet brezhoneg. Setu soñj a ra din e vefe plijus da dud ar vro kaout, eveljust, anoïoù ar c'hantonioù e Brezhoneg

pastell Bro Gwengamp :
kantonioù bear, Benac'h, Boulvriag, Kallag, Gwareg, Gwengamp, Lannon, Mêl-Karaez, Plistin, Plegad, Plouared, Rostrenn, Sant-Nikolaz-ar-Pelem,
Les radicaux de gauche (le PRG)

A gauche, les radicaux sont différents. Ils ne sont ni marxistes, ni socialistes. Ils ne lisent pas l'histoire comme celle d'une lutte des classes. Les radicaux ne sont pas convaincus des vertus de l'étatisme, du dirigisme et du recours à des gestes politiques censés symboliser le progrès, tels que les nationalisations ou les 35 heures. Surtout quand il est prouvé que ces mesures n'ont pas permis d'assurer le dynamisme de l'économie, pas plus que le recul du chômage.
Les radicaux pensent au contraire que l'initiative individuelle est créatrice et que la croissance est la récompense de l'effort. En revanche, les radicaux exigent que l'économie fondée sur la libre entreprise soit assujettie à des règles permettant de garantir l'intérêt général et d'assurer la solidarité entre les citoyens.
Le Parti Radical de Gauche n'est pas seulement différent par les valeurs qui fondent son action politique. Il est également différent par ce qui le distingue des « grands partis de gouvernement ». Par exemple, il n'y a pas d'énarques au PRG, ou bien ils y sont très discrets. Ce qui permet d’éviter le fossé grandissant entre les instances dirigeantes et les citoyens.
Faute d’énarques ignorant les réalités du terrain, le Parti Radical de Gauche comporte en revanche beaucoup d'élus locaux, qui ne sont pas les mandataires d'une catégorie sociale ou professionnelle particulière. Ces élus sont tout simplement engagés dans la gestion quotidienne des intérêts communs. Le Parti Radical de Gauche est un parti de femmes et d'hommes libres, de toutes conditions et de toutes professions. C'est un parti ouvert, attentif aux désespérances d'un monde rural qui voit s'éloigner ses services publics. C’est un parti accueillant pour tous ceux qui, dans les banlieues de nos grandes villes, se sentent aujourd'hui exclus, avec les conséquences dramatiques que l’on connaît.
Enfin, le Parti Radical de Gauche est là pour rassembler les hommes et les femmes de bonnes volontés plutôt que de les diviser avec cet éternel clivage stérile droite/gauche.
En ces temps de craintes sociales et de replis identitaires, de désenchantement et de désaveu à l'égard des formations qui depuis plusieurs décennies font la politique de la France (PS et UMP), le retour de la confiance et de l'élan républicain passe par une renaissance de la démocratie Française.
Mais, cette démocratie passe obligatoirement par les retrouvailles entre les citoyens et leurs partis.
C'est à cela que sert le Parti Radical de Gauche et c’est pour ça qu’il existe.
François Bouriot
Maire de Trélévern
Président du PRG sur les Côtes d’Armor

mardi 3 avril 2007

Pays de Guingamp : réélection du Président
Suite au décalage des élections locales tout le monde s'est accordé pour reconduire Thierry Burlot, président actuel

Administrateur du GIP et Président du Pays Terres d'Armor depuis un an, je suis intervenu de la manière suivante :
le travail de normalisation et de stabilisation de relations cordiales et constructives accompli par les deux présidents (Thierry Burlot pour le Pays et Moi-même président du Pays Touristique) avec leurs deux CA ont été une totale réussite. On doit tous en être fiers. En partenaires libres, indépendants et cohérents, nous saurons conduire un développement concerté et harmonieux de notre territoire. Laissons au large les sirènes enrouées des faiseurs de faux espoirs dont les corollaires immédiats sont déceptions et découragement des populations. Qui trop promet ne peut agir. Soyons pragmatique pour le bien de tous, soyons démocrates et citoyens dans toutes nos décisions et nos manières de faire.

modernité et vie locale

sachons mettre la modernité au service de nos territoires ruraux et côtiers et au service de leurs traditions et de leurs racines en les faisant partager par le plus grand nombre. Etre de quelque part, être fier de ses parents, de ses grands parents... donnent à l'humain une dimension culturelle offrant un grand bonheur : celui du partage.
Dès lors, les arts de vivre, les cultures locales, les produits de terroirs deviennent éléments de modernité en ce sens qu'ils sont espace d'ouverture aux autres, éléments de progrès et éléments du lien intergénérationnel.

lundi 2 avril 2007

Faire le pari de la Modernité

Il n'est pas envisageable pour moi de reculer devant les difficultés : emploi, environnement, vie publique... Les défis sont nombreux et difficiles. Mais en tous les cas, le monde change et nous n'avons pas d'autres choix que d'accompagner ce changement au mieux, si possible tenter de l'anticiper. Le contraire de ce que propose Myriam de Coatparquet, candidate FN et "très attachée à la défense des « choses de chez nous »", nous apprend le Ouest France. Bref, l'enfermement arc-bouté sur la tradition n'est tout au plus qu'une réponse de facilité et de réconfort, mais en aucune façon une solution.